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- 2 Corinthiens
- 2 Corinthiens 1.4-21
2 Corinthiens 1.4-21
On a coutume de dire ou d’entendre que dans la vie, au moins deux choses sont certaines : les impôts et la mort. Il faut avouer que ni l’une ni l’autre de ces fatalités n’est réjouissante, mais ainsi va la vie en ce bas monde. Il n’y a qu’à jeter un coup d’œil au journal télévisé ou à celui du matin pour se rendre compte que les nouvelles sont essentiellement constituées d’une longue litanie de drames ; et personne n’est épargné. Pour cette raison les roseaux pensants que nous sommes avons souvent besoin de réconfort, d’une tape amicale sur l’épaule, ou d’entendre une parole encourageante.
Du début à la fin des Textes Sacrés, les auteurs reconnaissent que la consolation est un besoin fondamental de la condition humaine. Jésus en était tout à fait conscient et a promis à ses disciples qu’une fois de retour dans les cieux, il leur enverrait un ami conseiller pour les soutenir dans les épreuves de la vie, et l’apôtre Paul parle souvent de Dieu en tant que Père des miséricordes qui est compatissant et réconforte ceux qui ont foi en lui et qui l’invoquent. C’est d’ailleurs ainsi qu’il commence sa seconde épître aux Corinthiens. Je continue à la lire dans le premier chapitre.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.