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Actes 1.8 – 2.13
Si on y regarde d’un peu près, tout ce que l’homme fait est tordu quelque part. Même sa plus belle réalisation est très imparfaite et ça se voit à l’oeil nu, on a pas besoin de loupe. Alors il ne faut pas s’étonner si dans le domaine religieux c’est la grosse pagaïe et qu’il existe autant de chapelles que de caprices humains. Pourtant, toutes les confessions de foi ne sont pas à mettre dans le même panier; il y en a une qui est la bonne, mais comme le diable ne veut pas que les gens la trouvent, il a brouillé les cartes. Il existe une Église universelle qui est la vraie et qui rassemble tous les croyants authentiques, c’est à dire ceux qui ont placé leur foi personnelle en Jésus-Christ, et en personne ni en quoique ce soit d’autre. L’Église de Jésus-Christ n’est pas une conception humaine car de toute éternité elle fait partie du plan souverain de Dieu. Les apôtres que Jésus avait choisis n’ont compris sa mission qu’après son ascension dans les cieux ce qui veut aussi dire qu’ils étaient totalement incapables d’accomplir par eux-mêmes l’oeuvre que le Seigneur leur avait confiée. En fait, après la mort de Jésus, ils se sont enfermés à double tour, tremblant comme des feuilles en attendant que l’orage passe. Ce qui a commencé à susciter un changement en eux est la résurrection du Seigneur, mais leur revirement n’a été complet que plus tard. Je continue à lire dans le premier chapitre du livre des Actes.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.