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26 janv. 2026

Joël

L’expression « illustre inconnu » est une contradiction qu’on désigne d’ailleurs par le terme technique : oxymore ou oxymoron. En effet, comment peut-on être illustre tout en étant inconnu ? Eh bien, c’est tout à fait possible et c’est le cas pour un certain nombre d’artistes et aussi d’écrivains séculiers ou sacrés.

Joël est un prophète de l’Ancien Testament et l’auteur du livre qui porte son nom et pourtant on ignore tout de lui. Le premier verset nous apprend que son père s’appelle Petouël, un mot qui signifie « simplicité de Dieu ». Mais cet homme n’apparaît nulle part ailleurs dans les Textes sacrés. Qui est cette famille et d’où sort-elle, nous n’en savons rien.

Contrairement au prophète Osée, Joël ne dit pas un mot sur lui-même. Il existe une douzaine de personnages de l’Ancien Testament qui ont pour nom Joël, un nom qui veut dire : « l’Éternel est Dieu », mais aucun d’entre eux ne peut correspondre au prophète, auteur de ce petit livre de 73 versets seulement.

Joël a exercé son ministère en Juda et probablement à Jérusalem, et quand il envisage l’avenir de son peuple, il n’a que des oracles de bénédiction. Par exemple, il dit :

Et vous reconnaîtrez que je suis l’Éternel, votre Dieu qui réside en Sion, mon saint mont. Jérusalem sera un sanctuaire : et plus jamais, les étrangers n’y passeront. – Quant à Juda, il sera toujours habité, Jérusalem le sera d’âge en âge (Joël 4.17, 20 ; 3.17, 20 LSG).

Joël n’indique pas à quelle époque il a exercé son ministère mais le contenu de sa prophétie nous permet de procéder par élimination. Joël annonce le jugement des Égyptiens et des Philistins (Joël 4.4-8, 19), or on sait que ces derniers ont été écrasés en l’an 526 par Cambyse qui a succédé à son père Cyrus à la tête de la Perse. Et l’année suivante ce monarque conquiert l’Égypte qu’il incorpore à son empire. Joël parle aussi des Sabéens qui sont des trafiquants d’esclaves (Joël 4.8), or après le 6e siècle avant J-C, cette peuplade perd le contrôle des voies commerciales, ce qui veut dire que l’oracle de Joël se situe avant leur perte d’influence dans la région.

Quand Joël écrit, le temple de Jérusalem fonctionne (Joël 1.9, 13, 16) et les murailles de la ville semblent intactes, ce qui permet de dire qu’il a vécu et prophétisé avant la destruction de la ville sainte par les Babyloniens au 6e siècle av. J-C (en 587-586).

On sait que le prophète Amos a exercé son ministère vers le milieu du 8e siècle av. J-C. Or, il condamne les mêmes peuples païens que Joël et pour les mêmes raisons et ni l’un ni l’autre ne parlent de l’Assyrie ou de Babylone. Par contre, Amos mentionne la menace que présente le royaume de Syrie, ce que ne fait pas Joël qui doit donc se situer avant Amos et avant la montée en puissance des Syriens.

Bien qu’il mentionne différentes catégories sociales, Joël fait comme si le roi n’existait pas car il ne le mentionne jamais. Oui, mais comme on sait que Joas est monté sur le trône (895-796) alors qu’il n’a que huit ans et qu’il est sous la protection du grand-prêtre Yehochéba, cette situation expliquerait pourquoi Joël ne parle pas de Joas. Tous ces indices permettent de situer le ministère de Joël au début du 9e siècle av. J-C.

Ce livre a deux grandes parties. Dans la première qui couvre les deux premiers chapitres, il est question d’une invasion de sauterelles ou de criquets, un phénomène courant en Palestine mais dont les conséquences sont catastrophiques pour une société entièrement orientée vers l’agriculture. Ce fléau est généralement précédé par l’absence de pluie et par le vent chaud du désert qui dessèche tout sur son passage. Puis ce même vent amène avec lui les sauterelles qui dévorent ce qu’il peut encore y avoir de végétation. Finalement, le vent aride emmène les sauterelles dans la mer où elles servent de repas aux poissons et à la faune marine.

Le prophète commence son livre par décrire les ravages causés par le fléau de sauterelles dans les campagnes (Joël 1.2-12) telles qu’il les a vues. Puis il regarde le peuple qui vient en masse au Temple pour se lamenter sur cette catastrophe (Joël 1.13-14) et observer un jeûne de contrition. Saisi par l’Esprit de Dieu, Joël met à profit l’occasion de ce grand rassemblement pour délivrer sa prophétie. Ensuite il évoque le fléau depuis son origine et décrit son déroulement. Tout d’abord il y a eu une sécheresse (Joël 1.16-20) qui annonce une catastrophe plus grave encore que Joël nomme « le Jour de l’Éternel ». Ce jour de jugement arrive ; c’est l’invasion de sauterelles (Joël 2.1-11). Le prophète explique alors que cet événement est un châtiment infligé par Dieu à son peuple. Cette proclamation est suivie d’un appel à la repentance qui doit s’exprimer publiquement au cours d’une cérémonie formelle au Temple de Jérusalem (Joël 2.12-17). Tout porte à croire que le peuple et ses chefs obéissent à l’exhortation de Joël parce que l’Éternel lui promet de débarrasser le pays des sauterelles et même de compenser les dégâts qu’elles ont occasionnés (Joël 2.18-27).

Ce fléau à la fois naturel et surnaturel qui a ravagé le royaume de Juda sert de fondement à une prophétie qui concerne la fin des temps et qui s’appelle « le Jour de l’Éternel ». Cette prophétie est donnée dans la seconde partie du livre qui de ce fait possède un caractère apocalyptique prononcé, qu’on retrouve chez le prophète Ézéchiel et l’apôtre Jean. Cette deuxième partie du livre de Joël se divise en trois sections introduites chacune par une remarque d’ordre temporel (Joël 3.1 ; 4.1 ; 4.18 ; ou 2.28 ; 3.1 ; 3.18 LSG). Dans la première section, Joël annonce le don de l’Esprit qui sera tellement abondant que tous les membres du peuple de Dieu seront prophètes, et ils échapperont au Jour de jugement final en invoquant l’Éternel.

La deuxième section annonce le châtiment de toutes les nations du monde alors qu’elles s’unissent pour lancer une ultime attaque contre Israël. Mais cette guerre tourne court et les nations se retrouvent à la cour d’assises suprême, devant l’Éternel qui les juge, prononce contre elles sa sentence, et charge les armées célestes de l’exécuter.

Dans la troisième section, la venue de l’Esprit est à nouveau annoncée mais sous la forme d’une métaphore. Il s’agit d’une source qui jaillit du Temple, et qui d’une part, purifie le peuple de Dieu, et d’autre part, étend la sainteté du Temple au pays alentour.

Les deux parties du livre que je viens de survoler ont de nombreux points qui sont soit communs soit contrastés. Elles sont construites autour du thème du « jour de l’Éternel », qui est appelé « grand et terrible » (Joël 2.11 ; 3.4 ; ou 2.11 ; 2.31 LSG). Dans les deux parties, ce jour est décrit avec les mêmes images : « les ténèbres, le feu, les astres qui s’obscurcissent, les cieux et la terre qui s’ébranlent ». L’invasion de sauterelles que le prophète décrit au début du livre est un préliminaire, un avant-goût du « jour de l’Éternel » qui est ensuite transposé dans la seconde partie mais sur le mode prophétique.

Alors que dans les deux premiers chapitres, l’Éternel se sert d’une armée de sauterelles pour attaquer Jérusalem et punir son peuple désobéissant, dans la prophétie qui concerne la fin des temps, Dieu prend la défense de Jérusalem et s’oppose à une véritable armée venue attaquer Israël.

Dans les deux parties du livre, le dénouement est le même : que ce soient les sauterelles ou les armées hostiles à Israël qui se sont attaqué au peuple de Dieu, l’agresseur est anéanti par l’Éternel qui ensuite bénit son héritage par des récoltes abondantes et surtout par sa présence (Joël 2.23-24, 27 ; 4.17-18, 21 ou Joël 3.17-18, 21 LSG).

Le jugement divin que subit Juda quand il est envahi par les sauterelles est suivi d’une grande prospérité. Ces deux situations consécutives : châtiments, bénédictions, anticipent ce qui se passera à la fin des temps et que les Écritures appellent « le jour de l’Éternel ». Tout comme le jour hébreu, « le « Jour de l’Éternel » » commence par la nuit, c’est à dire par des ténèbres, par un jugement sans précédent qui frappe la terre entière. Mais il est suivi par les bénédictions du millénium pour le peuple de Dieu.

« Le jour de l’Éternel » est une expression un peu technique ; il commence par l’enlèvement de l’Église universelle (comparez 1Thessaloniciens 4.15-18) et se termine à la fin des mille ans de règne du Christ lorsque la nouvelle terre et les nouveaux cieux seront créés. Ce jour est appelé « grand et terrible » parce que comme je l’ai dit, il commence par une série de châtiments divins qui vont en s’intensifiant et qui durent sept ans, une période que les Écritures appellent « la tribulation ». Ces jugements sont suivis du retour en gloire de Jésus-Christ qui instaure son règne de mille ans sur terre.

Le thème apocalyptique du « jour de l’Eternel » apparaît la première fois au 9ème siècle avant J-C avec Abdias, le premier des prophète à mettre ses prédictions par écrit. Il n’exerce son ministère que pendant quelques mois sous les règnes de Yoram (852-841), roi d’Israël Nord et Yoram, même nom, roi de Juda (854-841) et après le sac de Jérusalem (845 av. J-C) par les Philistins, les arabes et les Edomites. C’est justement à l’occasion de l’annonce d’un jugement contre Édom (Abdias 8), à cause de sa participation à l’attaque de Jérusalem (Abdias 10-14), qu’Abdias reçoit la vision prophétique du « jour de l’Éternel », quand à la fin des temps, Dieu réglera ses comptes avec l’humanité (Abdias 15s).

Joël qui cite un passage du livre d’Abdias (Abdias 17 ; Joël 3.5 ou Joël 2.32 LSG) est donc le second prophète à parler du « jour de l’Éternel », et si j’ai bien compté il le mentionne au moins cinq fois (Joël 1.15 ; 2.1-2, 10-11, 30-31 ou Joël 3.3-4 LSG ; Joël 3.14-16 ou Joël 4.14-16 LSG).

Amos, dont le ministère prophétique fait suite à celui de Joël, mentionne également « le jour de l’Éternel » en reprochant au peuple de désirer sa venue (Joël 5.18-20), ce qui montre que c’est déjà un thème connu.

« Le jour de l’Éternel » est également mentionné par la plupart des prophètes de l’Ancien Testament : Ésaïe, Jérémie, Sophonie, Ézéchiel, Daniel, Zacharie et Malachie

Une invasion de sauterelles est peut-être un événement banal dans les livres d’histoire et de géographie, mais c’est une catastrophe pour ceux qui la subissent. L’une des particularités de la prophétie de Joël est que son auteur se sert de ce fléau qui frappe le royaume de Juda comme tremplin. Le jour où Dieu juge son peuple est transposé au plan eschatologique pour évoquer « le jour de l’Éternel » qui est universel, grand et terrible.

Tout au long de l’histoire, il y a eu des « jours de l’Éternel », c’est-à-dire des temps de jugement aussi bien d’Israël que des nations païennes qui lui sont hostiles. Ces jours sont des préludes et des anticipations au « grand jour de l’Éternel » de la fin des temps qui sera final, définitif et concernera toute l’humanité.

Dans les Écritures, « le jour de l’Éternel » est souvent présenté comme imminent et proche, mais cela ne veut pas dire qu’il aura lieu demain, car cette façon de le décrire sert plutôt à souligner le caractère inéluctable de ce jugement de Dieu même s’il est encore loin dans l’avenir.

En tant que prophète, Joël considère une catastrophe qui est à la fois naturelle et surnaturelle, puisqu’elle a pour origine un jugement de Dieu, et il lui donne une interprétation immédiate et une seconde loin dans le temps, ce qui est propre à la vision prophétique. Amos aussi interprète des fléaux ponctuels en châtiments divins (Amos 4.6-11), puis il entrevoit de nouveaux jugements dans l’avenir (Amos 5.1-3, 11).

Dans le livre de l’Apocalypse, l’apôtre Jean déclare que les catastrophes naturelles qu’il annonce sont des jugements de Dieu sur le monde en rébellion contre lui et qu’ils seront suivis par d’autres et d’autres encore.

Dans les exemples que j’ai cités, à commencer par Joël, nous savons que les fléaux sont d’origine divine parce que les Écritures le disent, mais c’est tout à fait exceptionnel. En effet, Jésus a mis sa génération en garde contre l’idée qu’il existe toujours un lien causal entre les malheurs et les fautes particulières de ceux qui sont frappés. Il mentionne deux incidents : le gouverneur Pilate qui ordonne le massacre de Galiléens pendant qu’ils offrent leurs sacrifices, et dix-huit personnes qui sont tuées quand la tour de Siloé s’effondre sur elles. Puis il demande à ses disciples si ces personnes sont plus coupables que les autres et il ajoute : « Non, je vous le dis ; mais vous aussi, si vous ne changez pas, vous périrez tous » (Luc 13.1-5).

On peut dire que toutes les catastrophes, dans ma vie ou dans le monde, sont des manifestations de la malédiction que Dieu a prononcée contre l’humanité pécheresse, mais il n’y a pas forcément un lieu cause à effet entre les victimes et le malheur qui les frappe.

Un jeune est en train de mourir ; je voudrais bien comprendre et que les choses soient claires, j’aimerais que tout soit blanc ou noir et pouvoir dire que c’est parce que ceci ou cela. Eh bien non, je ne sais pas pourquoi ; il n’y a pas de raison évidente et je dois accepter le gris. Il faut considérer toutes les catastrophes, que ce soit un accident de voiture ou un tremblement de terre, comme une occasion de se remettre en question devant Dieu et une exhortation à se repentir, même s’il est bien rare que les hommes adoptent cette perspective quand une tuile leur tombe sur la tête (comparez Apocalypse 9.20s ; 16.11).

Pour Joël comme pour tous les prophètes, l’histoire de l’humanité se dirige vers un but qui donne son sens au présent, et c’est l’Éternel qui en est le Maître. Je sais bien que j’ai déjà dit plusieurs fois qu’en ce bas monde, c’est Satan qui est le Prince et qu’à ce titre, c’est lui qui mène le bal, mais c’est seulement une apparence, car sur l’échiquier de l’univers, Satan est un simple pion entre les doigts du Tout-Puissant.

Le livre de Joël ne se distingue pas par la prophétie concernant « le jour de l’Éternel » puisque ce n’est pas une nouvelle révélation. Ce qui lui est spécifique est l’annonce d’une manifestation sans précédent du Saint-Esprit et de son action purificatrice. Ce thème est d’ailleurs repris et développé par plusieurs autres prophètes. Le trait le plus original de Joël est sa vision de la fonction prophétique qui sera un jour étendue à tous les membres du peuple de Dieu. Cette éventualité avait déjà été envisagée par Moïse quand il a dit à Josué, son aide de camp :

Que l’Éternel (au contraire) accorde son Esprit à tous les membres de son peuple pour qu’ils deviennent tous des prophètes ! (Nombres 11.29).

Joël entrevoit l’avènement d’une ère nouvelle et différente de l’économie ancienne qui est « selon la lettre qui a vieilli » pour reprendre l’expression de l’apôtre Paul aux Romains (7.6 ; LSG) concernant la loi de Moïse. Joël n’a certes pas utilisé le vocabulaire de ses successeurs comme « la nouvelle création » chez Ésaïe ou « la nouvelle alliance » chez Jérémie ou Ézéchiel, mais il voit l’effusion du Saint-Esprit. Alors que sous l’Ancienne Alliance seuls quelques individus privilégiés reçoivent l’Esprit, un jour, tous les membres du peuple de Dieu, à commencer par un petit reste israélite, seront baptisés du Saint-Esprit et deviendront prophètes. Le salut sera alors accordé à tous ceux qui dans un acte de foi invoquent personnellement l’Éternel (comparez Joël 3.5 ; 2.32 LSG). La Nouvelle Alliance de la grâce de Dieu en Jésus-Christ est l’accomplissement de la prophétie de Joël du don de l’Esprit accordé à tous les croyants.

Pour Joël, le plus grand bien de l’homme est la présence de l’Éternel parmi les siens (Joël 2.26), ce qui se comprend puisque Dieu est la source de la vie. Il s’ensuit que la conséquence la plus grave de l’invasion des sauterelles n’est pas les dégâts qu’elle cause mais la cessation du culte, une situation qui confirme la rupture entre le peuple élu et son Dieu (comparez Joël 1.9, 13, 16 ; 2.14).

Le Nouveau Testament continue le thème du « jour de l’Éternel » qui devient « le jour du Seigneur » et sert à évoquer le retour glorieux du Christ à la fin de la grande tribulation (1Thessaloniciens 5.2 ; 2Pierre 3.10-12), c’est-à-dire à la fin de la seconde moitié des sept ans que durera la tribulation. Ce sera un temps de jugements sans précédent (Actes 17.31 ; Romains 2.16 ; 2Pierre 2.9) avec Jésus pour juge de toute la terre.

L’oracle de Joël concernant l’effusion du Saint-Esprit (Joël 4.1-5 ; 3.1-5 LSG) est cité par l’apôtre Pierre (Actes 2.17-21) à la Pentecôte parce que les événements de ce jour, marquent le début de l’accomplissement de la prophétie de Joël.

L’apôtre Paul cite la fin de l’oracle de Joël (Romains 10.12) pour montrer que le salut est accessible à tous ceux qui invoquent le Seigneur, qu’ils soient juifs ou païens. En outre, Paul remplace « l’Éternel » par « Jésus-Christ ». Le thème de la présence permanente de Dieu au milieu de son peuple trouve son accomplissement spirituel en Jésus-Christ (Jean 1.14 ; 14.16-18 ; Matthieu 20.28 ; 28.20 ; Hébreux 13.5), mais s’accomplira plus complètement pendant le millénium et surtout sur la nouvelle terre de la nouvelle création (Apocalypse 21.3, 22).

Dans l’Apocalypse, l’apôtre Jean utilise plusieurs images du livre de Joël. Le déchaînement des forces de l’abîme (Apocalypse 9.1ss) rappelle la description de l’invasion de sauterelles de Joël ; le jugement final selon Jean reprend l’image de la moisson et de la vendange de Joël (Joël 4.13 ; 3.13 LSG ; Apocalypse 14.14ss) ; le rassemblement de toutes les nations et leur jugement final apparaissent plusieurs fois dans l’Apocalypse (Apocalypse 16.12-21 ; 17.12-14 ; 19.11-21 ; 20.7-10). Enfin, la source jaillissant du Temple (Joël 4.18 ; 3.18 LSG) fait partie de la description du royaume des cieux (Apocalypse 22.1) quand le Créateur rétablira toutes choses selon les normes divines.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

sept. 25 2023

Émission du jour | 2 Rois 3.1 – 4.37

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