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31 août 2026

Jude 1.19-20

Nous respectons les anciens et c’est bien, mais il ne faudrait pas s’imaginer qu’ils étaient plus sages ou plus vertueux que nous. Jacob est devenu Israël et a donné son nom à tout un peuple. Cependant, quand on examine sa vie, on se rend compte qu’au niveau comportemental, il vole plutôt bas, en fait à ras le sol. Comme il est patriarche, il a le pouvoir de transmettre à son fils la bénédiction de Dieu qu’il a lui-même reçue de son père Isaac. Oui, mais de son point de vue, accorder un pareil privilège ça se monnaye, peut-être pas en espèces mais au moins par une grosse bouffe. Dans le livre de la Genèse nous lisons qu’il dit à son fils Esaü : « chasse quelque gibier pour moi. Tu m’en apprêteras un de ces bons plats comme je les aime, tu me le serviras, je mangerai, puis je te donnerai ma bénédiction avant de mourir. –_Sers–moi donc, que je mange du produit de la chasse de mon fils, pour te donner ensuite ma bénédiction ». (Genèse 27.3-4,25). Ces passages accumulent les pronoms « moi, me, ma, mon, je »; ça vole bien bas. Jacob est un homme très charnel, mais et ce « mais » est important, il a aussi et quand même une foi personnelle en l’Éternel, et c’est ce qui fait toute la différence entre un homme de Dieu et un homme du monde comme Monsieur Tout le monde qui s’adonne à ses passions dans son coin. Mais il y a un autre Monsieur qui lui est très dangereux parce que hérétique. Il est comme le ver dans la pomme; il s’introduit dans une église chrétienne, cause des divisions et la détruit de l’intérieur. Je continue maintenant de lire la lettre de Jude

 

            Ils (les apostats) sont livrés à eux–mêmes (ils vivent selon leurs sens) et n’ont pas l’Esprit de      Dieu (Auteur).

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

sept. 25 2023

Émission du jour | 2 Rois 3.1 – 4.37

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