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Marc 5.35 – 6.38
Le temps s’enfuit à toute vitesse pour celui qui se réjouit mais il se traîne pour celui qui souffre. Pendant que Jésus converse avec une femme qu’il a guérie d’une perte de sang, le père qui est venu implorer le Seigneur pour sa fille mourante et qui attend, trouve que chaque minute dure un siècle. Je continue à lire dans le chapitre 5 de l’évangile selon Marc.
Pendant qu’il (Jésus) parlait encore, quelques personnes arrivèrent de chez le chef de la synagogue pour lui dire : — Ta fille est morte. À quoi bon importuner encore le Maître ? (Marc 5.35).
Ces colporteurs de mauvaises nouvelles confirment les craintes du père mais ils concluent un peu vite que la mort de la petite fille met fin à tout espoir que Jésus puisse être d’une aide quelconque. Tous ces gens, comme les disciples d’ailleurs, n’ont aucune idée à Qui ils ont affaire, ni l’étendue de sa puissance.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.